Comme chaque année, la journée du 8 mars permet de réaffirmer l’engagement de l’UNSA pour l’égalité, notamment salariale entre les femmes et les hommes, pour la lutte contre les violences sexistes et sexuelles et le harcèlement au travail.
En menant des actions pour déconstruire les stéréotypes et en faisant de la prévention des violences sexistes et sexuelles un sujet obligatoire de négociation dans toutes les entreprises et la Fonction publique, l'Unsa portent quotidiennement la défense des droits des femmes.
Dans la France comme dans notre région Occitanie, cette année 2021 a montré que le combat était loin d'être fini. La crise sanitaire actuelle a mis en lumière la situation de nombreuses femmes trop souvent peu considéré.es et sous-payé.es : infirmières, agentes d'entretien, aides-soignantes, auxiliaires de vie, pharmaciennes, caissières, personnels des EHPAD (professions féminisées à plus de 70 %.). Elles étaient considérées comme "invisibles" il y a encore quelques mois. Elles sont devenues primordiales dans la lutte contre la pandémie et doivent être soutenues pour obtenir l'égalité salariale. L’UNSA continue donc sa lutte pour des droits et des salaires égaux pour les femmes.
Le combat contre les violences que les femmes subissent, au travail ou dans le cadre domestique, est également au centre de nos préoccupations. Là encore, la crise actuelle a accentué les violences faites aux femmes et la mobilisation doit s'intensifier.
Cette journée du 8 mars est donc l’occasion de rappeler que beaucoup reste à faire en termes d’égalité des sexes mais que nous menons toutes et tous le combat à travers l’ensemble des actions que nous menons chaque jour.
L’égalité de toutes et tous ça ne concerne pas seulement celles et ceux qui se sentent écarté.es, cette liberté relève de notre responsabilité commune.