Ce deux avril, devant le manque d'effectifs et la surpopulation carcérale : l'UFAP UNSA Justice appelle au blocage des extractions judiciaires en Occitanie!
L'UFAP-UNSA dénonce des conditions de travail dégradées, avec des postes non pourvus dans tous les établissements ce qui met en danger l’ensemble des personnels. Les personnels de surveillance sont contraints d’accumuler les heures supplémentaires, sans pouvoir être rémunérés au-delà des 108 heures. ces collègues ont des rythmes de travail effrénés et s'épuisent à la tâche.
Afin d’éviter que les collègues ne craquent, l’UFAP UNSA Justice exige que les établissements qui tournent en mode dégradé par manque d’effectifs se restreignent à un fonctionnement limité aux mouvements essentiels de la détention (promenade, infirmerie, travail et sport).
L'UFAP-UNSA exige plus de postes au mouvement dans notre région !